Lors des acquisitions, et ce en dehors des différents aspects liés à la rentabilité ( le nerf de la guerre). Il reste à se préoccuper du niveau de trésorerie mais surtout de la manière dont il évolue et est susceptible d’évoluer dans le temps notamment dans le cadre du calendrier du deal en préparation.

Plusieurs aspects essentiels :

Le niveau de la trésorerie au moment de l’analyse de la situation de la cible

La plupart du temps on se trouve face soit à une trésorerie assez excédentaire, il faut surtout se mettre à analyser dans ce cas la manière dont s’est formée celle-ci,

S’agit il d’impacts récents du BFR ( retards dans les règlements des fournisseurs, acomptes facturés rapidement aux clients etc…) ou est-ce une trésorerie « naturelle » dans le cadre du business model ( la comparaison avec l’exercice précédent et le business model s’avère dans ce cas précieuse…)

Le niveau de la trésorerie dans un futur proche

C’est le souci du post-acquisition, en ce sens va-t-on se trouver face à une situation de décroissance ( prévisible) du niveau de trésorerie, va-t-on devoir réinvestir en sus du prix d’acquisition. Là encore une analyse de la dynamique du cash s’avère indispensable.